Bonjour.
J’hésitais entre créer un nouveau message ou continuer celui-ci. J’ai opté pour cette seconde solution. J’ai un autre très gros problème. Celui-ci se siturais au niveau pschychologique. Avant que j’attrape ce lymphome, j’ai tout le temps travaillé en interim et en particulier dans le domaine de l’industrie. Avant, tout se passait bien. J’arrivais à travaillais 98% de l’année. Je gagnais bien ma vie. De ce côté-là, je ne me plaignais jamais.
Au retour sur le marché de l’emploi, j’ai démarché de nouveau les agences intérims. Mais, bien-sur, il a fallu que je repasse devant la médecine du travail. J’ai eu l’occasion de rencontrer deux fois un même médecin et une autre fois, un médecin différent. A chaque fois, les mêmes restrictions: pas de travail de nuit et pas de soulèvement de charges lourdes. Alors, dans l’industrie, avec ces restrictions, pour trouver du boulot, il faut s’accrocher. Avant cette crise économique, les agences intérims arrivaient à me proposer des missions à ma convenance. En septembre 2008 est intervenu la crise financière ensuite la crise économique. Résultat, depuis septembre 2008, plus de boulot pour moi. Cela fait pile poil un an que je n’ai pas travaillé. Je commencais à désespérer. Mais en début d’après-midi, mon agence intérim m’appelle pour une mission et en plus dans la dernière entreprise où je suis allé. Déja que l’année dernière, ils étaient embêtés car ils ne savaient pas que je ne pouvais pas travailler les nuits. L’agence intérim ne leurs en avait pas informé. Du coup, ils ont été extrèmement gentils et compréhensifs de ma situation (la direction) et même le personnel. Parce-que au début, ils cherchaient un gars pour travailler les nuits en horaire décalé. Et, là, ils ont demandé la même chose. Déja, je suis prévu pour jusqu’à vendredi. Ensuite, je ne sais pas. Est-ce qu’ils vont continuer à me faire “des fleurs”? L’agence intérim m’a proposé de retourner voir la médecine du travail. Je leur ai répondu que ce n’est pas la peine d’y penser. Ils ne sont pas prêts de me retirer ces restrictions. Je vais les trainer pendant au moins dix ans. Je me trompe peut-être. En tout cas, une chose qui est sur encore pendant très longtemps.
Une chose que je ne comprends pas, par rapport au boulot, moi avant je n’étais pas excigeant au niveau boulot. J’étais tout le temps motivé. Peu importe les horaires. Tant que je ramenais des sous à la fin du mois. Là est l’essentiel.
Je me pose tous les jours la même question: qu’est-ce que j’ai mérité pour attraper cette maladie? Du sens, je parle avant que je tombe malade, j’avais une bonne hygiène de vie. Un, je travaillais: beaucoup de marches. Déja, c’était mon activité sportive de tout les jours. Ensuite, les soirs, après ma journée de boulot, cela m’arrivait d’aller courir autour du stade de mon quartier. Je faisais attention à ce que je mangeais. Beaucoup de fruits et légumes. Tout les jours à mon boulot, je buvais au moins une bouteille d’un litre et demi d’eau. L’été, c’était plus.
En conclusion, je me dis aujourd’hui, on a beau faire attention pour éviter de tomber grièvement malade, cela ne l’empêche pas. Je n’ai jamais fumé. J’en ai une haine féroce de cette saloperie. Avant, je buvais très modérément de l’alcool qu’aux grandes occasions. Aujourd’hui, pareil, j’en ai une haine féroce. Tout ce qui est mauvais pour la santé.
Pour moi, au niveau boulot, c’est devenu très très compliqué.
Je ne sais si ce message vous intéresse. Ou qu’il a de l’importance dans ce forum. Voila, je l’ai créé tout de même.
Je vous souhaite d’excellentes continuations.
Bon courage à vous toutes et à vous tous.
Cordialement Cédric.