Bonjour.
Merci beaucoup de vos réponses qui me rassurent énormément.
Je souhaiterais vous apporter un autre effet secondaire pas seulement dût aux rayons. J’ai énormément de soucis avec la fatigue et ensuite récupération du manque de sommeil. Je m’explique en vous détaillant deux anecdotes.
Fin des rayons: début année 2007. Alors que j’étais encore en arrêt longue maladie, j’avais le droit comme tout le monde de partir en vacances. Donc au mois d’août 2007, grand départ en vacances, nous sommes partis à 20 personnes. 4 voitures, 5 dans chaque voiture. Et que 4 personnes titulaire du permis de conduire (ce jour-là malheuresement pour moi, personne pour me seconder à la conduite. Vous comprendrez pourquoi.). La veille avant de partir, je me suis couché sur les coups de 22h. Pour se lever à 3h du matin car nous avions planifié le départ sur les coups de 4h du matin. Notre lieu de vacances se situait à environ 550 km de notre lieu de domicile. Et, il y avait 5h de routes. Donc, nous avions fais à peu près la moitié du chemin que j’ai ressenti une très très grosse fatigue, plus de forces dans mes jambes. Nous étions obligés de s’arrêter au premier aire de repos. Panique générale. J’étais tout blanc. Tout le monde se posait des questions: “Que faisons-nous maintenant? Devons-nous appeler les pompiers? Les vacances ne vont pas s’arrêter-là?” Ils ont essayé de me faire grignoter quelque chose. Mais, j’étais inccapable de manger quoi que ce soit. Du coup, je me suis reposé. Et des personnes sont parties à la première ville à côté de l’autoroute à une pharmacie pour acheter des médicaments. Pour essayer de me rebooster. Je me suis reposé pendant 2 heures. Il était prévu de partir si tôt (4h du matin) pour arriver sur le lieu des vacances avant midi pour pouvoir l’après-midi profiter de la plage et de la mer. Du coup, plage et mer, l’après-midi, c’était niète, annuler. Après m’être bien reposé et avoir bien récupéré, j’ai fais la deuxième moitié de la route impeccable. Nous avions pû faire notre semaine de vacances. Ensuite, il fallait bien revenir au bout de la semaine. Et bien, nous sommes partis du lieu de vacances en début d’après-midi, j’ai fais la route nickel. Sans faire aucuns malaises. Dès que je manque de sommeil, c’est quelque chose chez moi.
Alors que avant que j’attrape cette maladie, j’allais souvent à Paris. Une fois, je me suis couché un peu avant 21h pour me lever à minuit. Car, nous avions planifié de partir sur les coups de 1h du matin pour arriver à Paris sur les coups de 5-6h du matin avant les embouteillages. Et bien, cette fois-ci, pourtant j’avais un copain pour me seconder à la conduite, j’ai fais la route tout seul et nickel. C’était la bonne époque.
Deuxième anecdote:
Je n’étais plus en arrêt longue maladie, cette fois-ci. Je travaillais. Un samedi soir, il a été loué une salle des fêtes car c’était l’anniversaire de ma soeur, ses 30 ans. Une cinquantaine de personnes étaient présentes. Encore une fois, malheuresement pour moi, c’était mon samedi après-midi de travail. J’ai débauché à 17h. J’avais juste le temps de rentrer chez moi, de me laver et de faire les 50km pour aller à cette salle des fêtes. La soirée s’était très bien passée. Je me suis couché sur les coups de 4h30 du matin pour me lever sur les coups de 8h30 du matin. Ce dimanche, je n’ai pas eu l’occasion de me reposer. Car la fête a continué ce jour-là. Donc, le dimanche soir, je suis rentré chez moi avec du grave manque de sommeil. En plus de ça, la semaine suivante, j’étais du matin. J’embauchais à 5h du matin. Mais, j’avais pris l’habitude de me lever à 3h du matin. Pour bien prendre le temps de prendre mon petit-déjeuner, de me laver, de bien me préparer et de faire la route. Car, j’avais une demi-heure de route entre mon lieu de domicile et mon lieu de travail. J’ai fais lundi matin, mardi matin nickel. Arrivé mercredi matin, j’en pouvais plus. Je me suis levé normalement. Mais, je me sentais pas très bien. J’ai quand même pris la décision d’aller à mon travail. Sur les coups de 8h, je ne me sentais plus du tout très bien. J’ai été obligé d’abandonner mon poste de travail. Mon chef a été obligé d’appeler un médecin. Ce médecin a pris ma tension. Et j’avais un peu plus de dix de tension. Mon médecin a dit que c’était très bas et trop bas pour que je continue mon travail. Il en a déduit que ça venait bien par mon manque de sommeil. Il m’a conseillé qu’il serait préférable de rentrer chez moi de me reposer et d’aller voir mon médecin-traitant. C’est ce que j’ai fais. Du coup mon médecin-traitant m’a fait un arrêt de travail pour le jeudi et le vendredi suivant.
En ce qui concerne les vacances, j’ai prévenu mon entourage et je continue à les prévenir, plus de départ, avec moi, très tôt. Il faudra partir dans la matinée ou en début d’après-midi.
Tiens, j’ai encore une troisième anecdote:
En 2008, nous sommes partis deux jours à Andorra-la-vella. 5h de route. Même condition de départ: 5h du matin. A l’aller, c’etait mon frère qui a fait la route tout seul. Plus d’une fois, il m’a demandé de le seconder. J’ai dis que je ne pouvais pas. Que j’étais trop trop fatigué. Que j’étais inccapable de conduire. Mon refus de le remplacer, ça le mettait en colère car lui-même en pouvait plus. Il était lui-même très très fatigué. Au retour, nous sommes partis d’Andorre en début d’après-midi. J’ai pû le seconder nickel-chrome.
Je raconte ma vie. Mais, c’était pour bien que vous compreniez mon gros soucis lié à la fatigue. Mon histoire est un peu longue. J’espère que vous aurez eu le courage de lire toutes mes anecdotes.
Qu’en pensez-vous? Est-ce que cela vous fait la même chose? Avez-vous de grave soucis liés au manque de sommeil et à la fatigue?
Chez moi, c’est impressionnant. Je crois que j’ai eu et j’ai encore tous les effets secondaires liés aux chimios et aux rayons.
Merci beaucoup de s’intéresser à mon cas. Encore une fois merci beaucoup de vos avis et de vos réponses.
Je vous souhaite d’excellents courages dans votre vie de tous les jours. Par avance, je vous souhaite aussi un bon après-midi et un bon week-end.
Cordialement Cédric.