Bonsoir,
Je viens de lire votre message et trouve triste de voir que personne ne vous a apporté de réponse ,d’aide ou de petits mots écrits avec son coeur !
Je suis toute nouvelle sur le site puisque je suis atteinte moi aussi d’un lymphome NH de la zone marginale B mais aussi T et ne connais pas grand chose ni mes prochaines batailles. Je suis très douillette et ai terriblement PEUR !
Où en est votre belle mère ,comment va t’elle? Je ne la connais pas mais dites-lui s’il n’est pas trop tard que je lui souhaite beaucoup de courage et qu’elle n’est pas seule.
Je pense essayer de faire améliorer le site pour que chaque personne puisse accéder plus facilement où que nous soyons!
Bonsoir,
Ma belle-mère est atteinte d’un lymphome B à grandes cellules stade 2. Au départ rentrée en clinique pour une insuffisance respiratoire, il s’est avérée que son corps était également rempli d’eau. On nous à parlé de rétention d’eau, d’infection, puis de pneumopathie, et 15 jours plus tard d’un cancer du péritoine. Le docteur de la clinique a fait scanner, et biopsie, puis l’a renvoyée en hospitalisation à domicile qui s’avère le jour J être une sortie. Toujours une insuffisance respiratoire (sous oxygène), avec des sueurs nocturnes. 48h après la sortie de la clinique, hémorragie. Ma belle mère est emmenée aux urgences par les pompiers. Puis reste en réa pendant 15 jours, entre la vie et la mort. On lui diagnostique (avec les résultats de la biopsie transférée par la clinique) un lymphome B à grandes cellules stade 2. Traitement mis en place : RChop sur 8 séances tous les 21 jours.
Voilà pour situer le “comment”. Aujourd’hui, je viens sur ce forum, parce que mon mari et moi-même sommes confronté à la “baisse de moral” de ma belle mère, qui est un grand classique de la maladie d’après ce que j’ai pu lire. Rien de ce que nous ne pouvons dire, ou faire, ne semble lui remonter le moral de manière à ce que cela dure plusieurs jours. Lire, regarder la télévision, se divertir, tout cela demande de l’énergie qu’elle ne trouve pas actuellement. Et puis, malgré les informations, mon mari sent qu’elle ne croit plus trop au discourt des médecins. Je crois que la peur/l’angoisse prend le dessus. Nous nous sommes dit qu’il serait peut être bien, qu’elle puisse discuter (de vive voix, ma belle mère n’est pas en bon terme avec internet) avec quelqu’un qui a un lymphome. Quelqu’un qui vit ce qu’elle vit, et qui ressent ce qu’elle ressent.
Mon mari est persuadée que ça la rassurerait, et lui redonnerait le sourire de se sentir comprise.
Nous habitons du coté d’Orléans.
Je poste ce message, un peu comme une bouteille à la mer, si vous me lisez, et que vous vivez à proximité, ou alors que vous avez des contacts dans le Loiret, n’hésitez pas à m’en faire part.
Je vous remercie de m’avoir lu, n’hésitez pas à me donner votre point de vue.
Bonne soirée à tous.