Parcours de soins : diagnostic, suivi avant traitement après

Cadmium

Les médecins exhortent les pouvoirs publics à agir

par Elsa Casalegno
Publié le 09 juin 2025

Ce métal s’accumule dans l’organisme humain via notre alimentation, notamment les pâtes, le pain, les pommes de terre, voire certains légumes. La contamination des Français, en particulier des enfants, a atteint un niveau d’autant plus préoccupant qu’un lien est soupçonné avec l’explosion des cancers du pancréas.

En résumé
  • Les médecins alertent sur l’imprégnation alarmante de la population française par le cadmium, un métal cancérigène, reprotoxique et potentiellement mutagène, dont les niveaux sont particulièrement élevés chez les adultes et les enfants par rapport à d’autres pays.
  • Ce métal s’accumule dans l’organisme principalement via l’alimentation, et un lien est fortement suspecté avec l’augmentation des cancers du pancréas en France.
  • Les médecins exhortent les pouvoirs publics à imposer une teneur maximale en cadmium dans les engrais phosphatés afin de réduire la contamination des sols agricoles.
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“C’est super de voir Carlos Alcaraz s’entraîner depuis un hôpital” : des enfants hospitalisés plongés au cœur de Roland-Garros grâce à un robot


Les enfants ont pu suivre l'entraînement de Carlos Alcaraz depuis leur lit d'hôpital.
Les enfants ont pu suivre l’entraînement de Carlos Alcaraz depuis leur lit d’hôpital. • © JULIEN MATTIA / LE PICTORIUM / MAXPPP

Écrit par Emmanuèle Bailly et AFP
Publié le 27/05/2025

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SCIENCES

Un nouveau test sanguin permet de détecter précocement la récidive du cancer

Ce test médical est en mesure de trouver des traces de cancer des mois avant un scanner mais il n’est pas encore clair de savoir si les patients devraient s’y soumettre.

DE MERYL DAVIDS LANDAU

PUBLICATION 13 JUIN 2025, 15:02 CEST

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De nouveaux tests sanguins peuvent détecter le retour d’un cancer des mois avant les scanners traditionnels, fournissant aux médecins et aux patients des informations cruciales pour la suite du traitement. Mais plus d’études tentent de déterminer si ces détections peuvent changer les taux de survie.

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La semaine mondiale des troubles du comportement alimentaire a eu lieu du 2 au 8 juin. À cette occasion, la Ville de Saint-Cloud propose une information sur ces troubles souvent mal repérés.

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IHOPe-logo

L’ABC ludique et pédagogique !

Parce qu’il est important de savoir de quoi l’on parle, un Abécédaire est à ta disposition pour bien comprendre certains termes que tu as pu entendre.

A - B - C - D - E - F - G - H - I - J - K - L - M - N - O
P - Q - R - S - T - U - V - W - X - Y - Z

  • Mucites

Il s’agit d’un effet secondaire de la chimiothérapie et de la radiothérapie qui se traduit par l’apparition d’aphtes dans la bouche avec, plus largement, une inflammation de la cavité buccale.

  • Marqueurs tumoraux

Il s’agit de substances issues des cellules cancéreuses que l’on retrouver dans le sang du patient. En les analysant et en analysant leur nombre, on va pouvoir dépister un cancer, mais aussi surveiller un patient en cours de traitement pour évaluer comment son cancer évolue.

  • Métastases

Il s’agit de cellules cancéreuses ayant colonisé d’autres endroits du que le lieu de la tumeur primaire. On parle aussi de cancer secondaire : il s’agit d’une propagation du cancer.

https://www.ihope.fr/

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LIVRET D’ACCUEIL
(FORMAT PDF)

Comment appréhender sa rémission complète et bien vivre l’après-cancer ?


La dernière consultation avec votre cancérologue vient de se terminer. Il vous annonce que vous êtes en situation de « rémission complète ». Tout va bien. Vous vous sentez enfin libéré du poids de la maladie mais également un peu perdu. Tout cela est très normal. Après cet intense combat contre le cancer il faut apprendre à vivre autrement et vous réadapter à votre quotidien d’avant.

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Après un premier mélanome, le risque d’en développer un second atteint 8 %, selon l’Institut National du Cancer (INCa). © Freepik
Le cancer de la peau est en pleine expansion en France, avec en première ligne le mélanome, particulièrement agressif. Pour tenter d’enrayer cette progression inquiétante, la Ligue contre le cancer déploie une campagne de prévention originale, percutante et un brin… grillée, à l’aube d’un nouvel été sur la plage. Décryptage.

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Agir pour sa santé contre les risques de cancer : l’Institut national du cancer propose 40 pages de conseils de prévention pour prendre soin de soi
40 pages de conseils de prévention, des astuces et bons plans pour être en bonne santé et le rester.Cette brochure a fait l’objet d’une première publication en septembre 2021. L’édition 2024 propose l’actualisation de certaines données.Chiffres […]

Télécharger Agir pour sa santé - juillet 2024 (PDF - 15 MB)

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Personnalisation de l’ACcompagnement
du patienT en ONCOlogie

Quels sont les différents types de leucémies ?


Figure 1 : Schéma de la production des cellules sanguines

https://www.pactonco.fr/quels-sont-les-differents-types-de-leucemies

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Esquimaux, cornets… Difficile de ne pas céder à la tentation d’une bonne glace quand le mercure grimpe

On a tous craqué pour elle plus d’une fois. Et dire que cette glace mythique du commerce essuie un zéro pointé sur Yuka…
Malgré une offre toujours plus florissante au supermarché, les consommateurs s’accrochent aux valeurs sûres. À l’instar de Magnum, deuxième marque fétiche des Français derrière Häagen-Dazs. Des glaces “fidèles au plaisir”, mais pas franchement à notre santé…
L’application Yuka attribue notamment un très sec 0/100 aux célèbres Magnum Almond aux éclats d’amandes. Plus grave encore que ses 249 calories par bâtonnet et ses 12 g de graisses saturées, on note la présence de 8 additifs, dont deux potentiellement problématiques : les carraghénanes (E407) et les mono-diglycérides d’acides gras (E471), accusés de majorer entre autres le risque de certains cancers ou de maladies cardiovasculaires. Une info qui jette un petit coup de froid sur le transat…

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Tellement simple de faire soi même ses glaces :wink:
Merci pour toutes ces infos Jacques :grinning:

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Personnalisation de l’ACcompagnement
du patienT en ONCOlogie

Cette brochure a été relue par le Pr Didier Blaise, Hématologue à l’Institut Paoli-Calmettes de Marseille et RESTART, association de patients greffés de moelle osseuse.

Greffe de cellules souches hématopoïétiques :
Mon parcours en 10 étapes clés

Lire / Télécharger

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Tres intéressant, merci. Le donneur peut donc donner les CSH ou de la moelle, ce sont 2 choses différentes ? C’est quoi la différence, et dans quels cas on a besoin de l’un ou de l’autre ? :thinking:

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Bonjour @Mag_LLC ;

La majorité des greffes se font à partir de cellules souches, dans certains cas précis on préfère prélever la moelle directement, il faut la 'traiter" ensuite. Pour un enfant, cette deuxième technique peut suffire, pour un adulte, le greffon risque d’être insuffisant. Ce sont les équipes médicales qui déterminent quelles seront les modalités les plus appropriées pour le receveur. Ma première donneuse allemande a été “écartée” car elle ne pouvait donner de la moelle que par prélèvement direct. Mon hémato avait dit : “Pour un enfant, on aurait accepté, mais vous n’avez pas la corpulence d’un enfant”.
Bonne journée,
Joël

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Bonjour Joel,
Comment ça va ce matin ?
Je ne savais pas du tout ça, donc si j’ai bien compris pour vous et en général on préfère prélever les CSH directement càd par intraveineuse et non par ponction et anesthésie générale ? c’est quand même beaucoup mieux pour le donner… si j’ai bien compris mais c’est un contreintuitif pour moi donc pas sûre d’avoir bien compris :nerd_face:
Bonne semaine à tous

Mais du coup j’ai bien compris ou pas ? Ce n’est pas ultra limpide pour moi :sweat_smile::smiling_face_with_tear:
J’avais voulu donner mon sang mais mon prélèvement avait été refusé, j’avais déjà une hyper lymphocytose à l’époque (2008) :sweat:
J’aurais fait un don de moelle c’est sur

Bonjour @Mag_LLC,

J’avais répondu avec le lien car mon repas risquait de partir en fumée… Que ce soit don de moelle osseuse ou don de cellules souches, il n’ay a pas de différence pour s’inscrire en tant que donneur. Si effectivement, un potentiel donneur est sollicité, il va y avoir un questionnaire de santé et une analyse sanguine complète. Quelqu’un qui donne son sang et qui n’est pas inscrit en tant que donneur de moelle osseuse ne sera jamais sollicité (sauf dans un cadre familial s’il y a compatibilité). Les cellules souches, avec prélèvement sanguin sont dans un premier temps “boostées” pour qu’elles passent dans la circulation sanguine : une machine traite le sang, trie les précieuses cellules et le sang “débarrassé” des cellules souches est réinjecté dans l’autre bras. Cela ne nécessite pas d’anesthésie générale.
Bonne journée,
Joël

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Merci beaucoup pour ces précisions, je ne savais pas du tout ça, c’est très intéressant
Et bon appétit :yum:

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