Posté par Lithium le 24/04/2009 12:23:25
Bonjour,
Je vous écris car je suis desesperée.
En octobre dernier mon pere (qui est jeune,55 ans, et qui a un bébé de 20 mois) a commencé à avoir de l’ascite dans le ventre.
Les docteurs n’arrivaient pas à trouver ce qu’il avait, ils sont d’abord partis sur des fausses pistes : mycobacterie atypique ou mésothélium.
Les 4 mois suivants son état s’est dégradé : grosse fatigue, sueurs noctures enormes etc.
Mi Fevrier il a eu 42 de fievre, ils lui ont ouvert le ventre pour faire des biopsies : le diagnostic est tombé : lymphome des séreuses.
En plus, l’operation a fait flamber la maladie.
Suite a cela, il a passé une semaine dans uncoma (artificiel), puis a été reveillé une semaine. Re coma artificiel de 5 semaines, re-reveil et aujourd’hui ils le remette encore dans le coma pour la troisieme fois.
Le problème est qu’il a un poumon tres abimé, et perdu tous ses muscles (y compris des poumons).
Puis je avoir encore de l’espoir ?
Est ce que qqun a des témoignages d’experiences similaires ou bien de coma répétés ?
Merci je suis completement desespérée
[b]Posté par Marie le 26/04/2009 23:26:16[/b]
Bonsoir,
Je suis désolée de lire que la situation est si difficile… Ceci étant, si les médecins l’ont mis dans un coma artificiel c’est sans doute qu’ils gardent espoir que cela lui permette d’aller mieux par la suite…
Je vous souhaite beaucoup de courage pour affronter tout cela. Donnez nous des nouvelles.
Bises
Marie
[b]Posté par Lithium le 28/04/2009 13:38:51[/b]
Merci marie de m’avoir repondue.
Hier les medecins ont dit que c’etait de l’acharnement thérapeutique.
J’ai tellement peur de ce qui va se passer…
j’ai besoin d’aide mais est ce que quelque chose peut m’aider ?
[b]Posté par Lithium le 28/04/2009 14:00:30[/b]
J’ai 23 ans et encore tellement besoin de mon papa
comment accepter ca?
[b]Posté par Marie le 28/04/2009 15:39:58[/b]
Je n’ai pas de réponse à cette question… C’est surement plus facile d’accepter les choses pour soi-même que pour un proche. Je peux juste te conseiller de te rapprocher de la psychologue de l’hopital et/ou de l’assistante sociale, qui pourra certainement te donner de bons conseils avec le recul nécessaire… Bon courage…
Bises
Marie