Publié: 4 novembre 2025, 12:34 CET
En stimulant le système immunitaire, les vaccins anti-Covid-19 à base d’ARN messager semblent améliorer l’efficacité de certaines immunothérapies contre le cancer. Ces résultats sont d’autant plus prometteurs qu’ils concernent aussi les patients dont la maladie ne répond pas aux traitements.
“Si on arrive à équilibrer les risques cardio-vasculaires, on évite 80% des AVC” insiste l’infirmière en neurologie Sylvie Dufief. Et au moindre symptôme (paralysie d’un membre, difficulté à prononcer un mot, vertiges, nausée) appeler le 115 et personne d’autre, le 115 étant relié aux neurologues qui agiront rapidement si besoin pour évacuer le caillot. "Quand cela est pris à temps, on a des patients qui ressortent sans séquelle".
Il y a aussi une poche de je ne sais plus quoi en prémédication pour éviter ce risque lors de la première injection. C’est vrai que les corps sont de véritables usines à déchets les premiers jours !
(5 cycles de 28 jours de janvier à juin 2024)
Par cycle 1 hospitalisation de courte durée et prises de sang
La Pharmacie du CHRU LILLE prépare chaque poche
Obinutuzumab GAZYVARO
L’indice de masse corporelle est un indicateur de corpulence. Il informe de possibles excédents ou insuffisances pondéraux. Toutefois, il ne détaille pas la composition corporelle de l’organisme et doit s’accompagner pour sa compréhension d’autres données comme le tour de taille ou un bilan sanguin.
L’Indice de masse corporelle (IMC) est une valeur qui renseigne sur la corpulence d’une personne. Il s’obtient en effectuant la division du poids en kilos par le carré de la taille en mètre. L’IMC alerte sur les risques pour la santé consécutifs au surpoids, à l’obésité ou à l’insuffisance pondérale. « Plus cet IMC est bas ou élevé, plus le risque est important », observe le professeur Antoine Avignon*, chef du service nutrition diabète au CHU de Montpellier.
Les stratégies d’immunothérapie visent à utiliser le système immunitaire du patient pour que ses propres cellules détruisent les cellules cancéreuses. Des scientifiques de l’Institut Pasteur et de l’Inserm sont parvenus, dans un modèle préclinique, à stimuler une réponse immunitaire efficace contre les tumeurs en reprogrammant la mort des cellules B malignes. Ils mettent en évidence une tri-thérapie efficace pour traiter des cancers du sang, comme certains lymphomes ou leucémies touchant les cellules B. Cette étude a été publiée le 15 août dans la revue Science Advances.