Pour ma part j’ai un LH (stade I), je l’avais découvert en découvrant une grosseur sous l’aisselle (un ganglion qui a enflé), j’avais bien remarqué que je ressentais une faible douleur (plus comme une gêne) au niveau du gros ganglion quand je consommais de l’alcool, mis à part ça je n’avais pas de sueurs nocturnes ni aucun autre symptôme (mis à part la fatigue - mais qui n’est pas fatigué?)
Je ne suis pas médecin et j’imagine qu’il se pourrait qu’il y ait plusieurs autres raisons possibles pour vos symptômes, mon ganglion à moi est plutôt moyen (dans les 4cm, le second doit faire 1.2cm puis les autres qui ont enflés sont de l’ordre de quelques millimètres) donc je le sens bien, parlez en à votre médecin et ne vous inquiétez pas trop, ce n’est jamais bon de s’inquiéter
J’espère que votre médecin saura vous rassurer et que ce ne sera rien de sérieux!
Bonjour, et merci pour ce forum.
Il m’arrive d’éprouver des douleurs aux ganglions (ou plus précisément ce que je pense être des ganglions sous la mâchoire près des oreilles), lorsque je consomme de l’alcool. Ce n’est pas systématique mais ça fait probablement 10 ans, que ça m’arrive de temps en temps. Pardon pour les détails, mais je transpire beaucoup la nuit (depuis 20 ans).
Ces observations m’ont enfin rendu curieux, et je ne découvre comme éventualité que les lymphomes de Hodgkin, en tapant les mots clefs dans mon moteur de recherche.
Les personnes expérimentées pensent-elles qu’il me faudrait consulter un généraliste à ce sujet, en lui suggérant de vérifier les points spécifiques des lymphomes de Hodgkin, et lui demander de m’orienter directement vers un hématologue, ou la probabilité que ces douleurs présumément ganglionnaires corrélées à la prise d’alcool soient effectivement imputables à ce type de pathologie est-elle si faible que mes observations personnelles n’ont aucune sorte de pertinence ?
Il est vrai que parfois, quand on est atteint d’un lymphome, on peut avoir des douleurs lors de l’ingestion d’alcool.
Il est vrai aussi que, parfois, on peut avoir de grosses sueurs nocturnes quand on a un lymphome.
Malheureusement rien n’est simple et on peut aussi avoir ces symptômes sans avoir un lymphome. (c’est pour ça que l’on dit qu’une seule la biopsie peut donner un diagnostic).
Je ne sais donc pas quoi vous répondre. D’autant plus que cela fait beaucoup d’années que vous avez ces symptômes.
Du coup, peut-être que vous pourriez juste en parler à votre médecin généraliste à l’occasion d’un prochain rdv (pour autre chose) ?
Par ailleurs, les sueurs nocturnes de vont dérangent-elles pas ? Quand, parfois, se sont des grosses sueurs, on peut être amené à changer les draps (ou plutôt, en pleine nuit, mettre une serviette sous soi-même et aller chercher une autre couverture), c’est d’autant plus pénible que cela nous réveille, plusieurs nuits d’affilée, vous supportez ça depuis 20 ans ?
Rien que ce symptôme pourrait vous amener à voir votre médecin généraliste rien que pour votre confort de vie.
Merci du retour, Caroline. J’en parlerai à la prochaine consultation, comme tu le suggères. Les suées nocturnes impressionnent davantage ma femme que moi. Je retourne les draps, mais le lit n’est jamais à ce point trempé qu’il faille mettre une serviette, du moins pas en l’absence de grippe. Encore merci. J’apporterai un retour, quel qu’il soit afin de transformer cela en quelque chose d’utile.