Cette journée pour moi est compliquée mon fils a une petite baisse de morale et du coup moi je fais bonne figure mais derrière les rideaux ça reste douloureux
Il arrive jeudi a sin avant dernière chimio et depuis quelques jours Il souffre a nouveau de sin thorax , endroit où sa tumeur est situé et je le triture l esprit de si …
Et si j avoue n avoir encore pa accepter que mon enfant de 23 ans est happé part un lymphome englobant tout sin thorax et couvrant une partie de sin coeur…
Je m accroche à ce seule espoir du traitement et aujourd’hui je suis douloureuse aussi je ne sais même pas si je peux me permettre d en parler après tout moi je n’ ai rien mais je souffre pour autant c est mon bébé …j ai très peur
J aimerais bien plus que l aider …
Lundi il fait son scanner de vérification et si oui si encore une fois tout rebascule vers cette abîme qui nous a fouetter a l aube de ses 23 ans .
J ai déjà envie de présenter mes excuses à vous qui comme les guerriers et guerrières que vous êtes vivez ce que l’on fils endures …
J ai besoin seulement d y transcrire cette souffrance que je vie qu plus profonds de mes antrailles…mmin enfant est malade
Bonsoir @Jo.35,
Vous n’avez pas d’excuses à présenter.
Dans le cancer, il n’y a pas que le malade qui souffre et subit ses traitements pour vivre, survivre…
Les aidants, la famille souffre tout autant, différemment. Il vous faut une force pour le soutenir et donc ne pas montrer votre inquiétude bien qu’elle soit réelle. Vous êtes une guerrière également. Voir souffrir son fils c’est ignoble, on se demande pourquoi lui…
Nous réagissons tous différemment. Que l’on soit malade ou l’aidant nous sommes tous des guerriers à notre façon.
C’est plus facile à dire qu’à faire mais tant que l’examen de votre fils n’a pas eu lieu, ne voyez pas tout de suite le pire. C’est peut être similaire mais peut-être que c’est autre chose.
Pouvez-vous parler dans des groupes de soutien pour les aidants ? Écrire ici c’est déjà un peu libéré le poids que vous portez.
En ce qui me concerne, mais c’est ma nature, tant que je n’ai pas des résultats des examens que ce soit pour moi ou pour un membre de ma famille qui ont eu d’autres problèmes de santé, je me refuse à émettre des hypothèses sans omettre que la situation peut être grave. Une fois les résultats, c’est là que je prends les choses en main. Je ne sais pas pourquoi j’ai ce sang froid ou cette attitude. Je suis un peu comme celui qui préfère voir le verre à moitié vide ou celui qui préfère le voir à moitié plein.
Je vous souhaite beaucoup de courage pour affronter cette épreuve. Votre fils fait tout pour se battre pour vaincre son cancer et il sait que vous êtes son pilier même si ce n’est pas facile.
Tenez nous au courant si vous le souhaitez ou simplement pour vous décharger de vos émotions.
Bonjour, on m’a diagnostiqué un LH stade 4 environ 3 semaine avant mes 24 ans.
Mes parents aussi ont été très présent pendant mes chomios puisque je suis retournée vivre chez eux le temps des trairements.
Je me souvient que le service où j’etais m’avais dis que la psychologue pouvait aussi voir mes parents si ils en ressentait le besoin. Ca faisait parti de la prise en charge puisqu’ils sont aidant.
N’hésitez pas a vous renseigner a ce sujet, si le service où votre fils est suivi le fait ou pas. Mais surtout, si je peux vous donner un conseil c’est de pas garder ça pour vous, parlez en a quelqu’un, ici si ça vous soulage, ça vous permettra de mieux appréhender ces resultats. Ou même votre médecin traitant peut peut etre vous rassurer a ce sujet.
En tout cas ne gardez pas vos crainte pour vous, je vous souhaite bon courage, et n’hésitez pas si vous avec besoins de parler.
Merci pour ta réponse et témoigna, alors depuis ce coup de fils qui a mouvementé nos vies jamais devant lui je n au craquer je m en suis fait la promesse, j essaie au mieux de lui parler de ce que je fais ,de la vie …
Je suis également suivie part une psychologue.
Je ne sais ceci dit pas comment les autres aidants font moi personnellement mon fils me suis oartout dans la pensée, une jeune homme dans la rue , une photo, ces lieux de sortie, une anecdote tout lme ramène à ma douleur du moment, de cette non acceptation dont je travaille qui n est pas encore faite .
Je ne suis pas maman, je ne peut qu’imaginer ce que vous ressentez.
Ma maman m’a fait part de ce qu’elle a ressentie et vécu une fois que la remisssion a été officialisé. Nous en avons beaucoup parlé. Elle m’a dit qu’elle venait me voir toute les nuits pour savoir si je dormais, comme quand j’étais petite. Elle a aussi craqué sans que je le voit, et mon père avec.
Cest bien que vous vous fassiez suivre, ca doit vous aider pas mal quand même. Continuez a être positive devant lui, ça aide beaucoup. Qu’il vous suive dans vos pensées ou dans votre quotidien, c’est normal ça reste votre fils.
Quand aux autres chacun fais comme il peut, vous êtes présente et je peux vous assuré que c’est déjà beaucoup.
Tu vois rien que ces mots me font du bien et m encourage à me battre aussi à ma façon je me répète chaque jour que là seule alternative soit qu il guérisse même si je reste consciente que tout est à vivre .
La vie est a la fois magique et aussi si complexe à cerner nous mettant à épreuve parfois brutalement jusqu’au moment où cest derrière alors tout parrait si passionnant à vivre .
Je te souhaite pleins de passions ,de savourer a chaque instant de ce qu il s offre à toi.
Ne vous excusez pas d etre en souffrance .je suis une maman d un fils de 25 ans et croyez moi je prefere que ce soit moi la malade.
Le moral et la foi en la vie sont capital .gardez les et accompagnez le avec.
Et surtout votre amour de mere je suis qq de spirituel et pour ma part mon lymphome a regresse jusqu a quasiment disparaitre a la grande surprise des medecins parce qu au plus profond de moi l ame dela gerriere s est mobilisee .
Gardez confiance et enveloppez le de votre amour
