Merci kika, merci Mag_LLC pour ces mots c’est vraiment très gentil.
Le système immunitaire a pour mission de protéger l’organisme contre des envahisseurs étrangers ou dangereux. Ces envahisseurs peuvent être :
Micro-organismes (généralement appelés germes, tels que bactéries, virus ou champignons)
Parasites (tels que des vers)
Cellules cancéreuses
Organes et tissus greffés
Afin de défendre l’organisme contre ces envahisseurs, le système immunitaire doit être capable de distinguer
- Ce qui appartient au corps (soi)
- Ce qui n’en fait pas partie (exogène ou étranger)
Présentation
Qu’est-ce que la moelle osseuse ?
Résumé
La moelle osseuse est une « usine » dans laquelle sont fabriqués tous les éléments cellulaires du sang, à savoir les globules rouges, les globules blancs et les plaquettes. C’est là le lieu de naissance, de multiplication et de maturation de ces éléments essentiels à la vie.
A quoi sert la greffe de moelle osseuse ?
Résumé
La greffe de moelle osseuse a pour but de remplacer la moelle malade d’un patient par une moelle saine provenant d’un donneur sain ayant la même carte d’identité tissulaire HLA*. Elle permet la reconstitution des cellules sanguines et du système immunitaire. Elle est à l’origine de la guérison de nombreuses maladies du sang.
Les techniques de greffe de moelle
L’Allogreffe*
La greffe dite classique
La greffe réalisée par l’obtention de cellules souches*
La greffe de cellules souches obtenues par prélèvement dit « périphérique »
La greffe par cellules souches issues du sang de cordon ombilical
Les préparations à la greffe
Résumé
La compatibilité entre le patient et le donneur ne peut être parfaite. Il est donc indispensable de préparer l’organisme du malade à accepter le greffon dans les meilleures conditions possibles : c’est le conditionnement qui a pour finalité de favoriser la prise de greffe. Il en existe différents types :
- Le conditionnement myéloablatif : le but de cette préparation à la greffe consiste à détruire la moelle malade par une chimiothérapie, ou une combinaison de chimiothérapie et de radiothérapie. Cette moelle délétère sera ensuite remplacée par une moelle saine. Ce traitement est avant tout réservé à de jeunes patients
- Le conditionnement non-myéloablatif : il s’agit d’un conditionnement atténué, on dit aussi « à intensité réduite » qui est de plus en plus proposé aux patients. Cela implique une préparation moins toxique et un risque moindre de complications. Il s’agit de favoriser la prise de greffe. Afin d’éviter le rejet du greffon, le traitement va consister dans un premier temps à neutraliser le système immunitaire du patient sans trop s’attaquer directement à sa maladie puis, en second lieu, à utiliser l’effet anti-tumoral et immunologique du greffon (effet GVL – Graft Versus Leukemia). Il va s’ensuivre un chimérisme mixte, c’est-à-dire une coexistence des cellules malades du patient avec le greffon du donneur. Puis progressivement, les lymphocytes du greffon vont prendre le dessus et éliminer les cellules délétères du malade.
Ce type de traitement allégé proposé à de plus en plus de patients concerne en général les personnes âgées qui ne pourraient pas supporter un conditionnement myéloablatif. Les patients sont dans ce cas installés dans des chambres protégées des infections mais, la plupart du temps, ils ne sont pas isolés en chambre stérile.
Le choix du donneur
Résumé
En général, le donneur est un membre de la famille sélectionné parce que sa moelle est identique pour les systèmes de compatibilité tissulaire ou système HLA dans une proportion d’environ 25%.
En l’absence de donneur familial, un donneur non-apparenté, HLA compatible au niveau des cellules et des tissus, peut être trouvé sur un fichier de donneurs volontaires.
On peut également recourir à un donneur de cellules souches issues du sang de cordon ombilical du nouveau-né (voir ci-dessus les avantages de ce type de greffe).
Après la greffe
Résumé
Le malade reste en aplasie* totale (absence quasi totale de toutes les variétés des globules du sang) pendant au moins 15 jours jusqu’à ce que les cellules souches de la moelle se reproduisent et forment les cellules sanguines.
Dans le cas d’un conditionnement atténué ou réduit, le malade n’est pas mis directement en aplasie.
Les précautions d’asepsie* sont alors indispensables car l’organisme ne peut se défendre. C’est un moment difficile à passer physiquement et moralement parce que le malade est fatigué et l’attente est angoissante.
Il est nécessaire d’effectuer des prélèvements sanguins quotidiens pour suivre l’évolution de la numération et de la formule sanguine*.
(*) Voir définition dans notre lexique
… et de vie. Il raconte avec justesse et sensibilité, sans exhibition ni mélodrame, le parcours d’une jeune fille partie trop tôt. De nombreux spectateurs en sont ressortis bouleversés, certains revivant leur propre expérience, comme en témoigne Agnès H., bénévole au sein d’EGMOS :
Ce film est sublime, il touche en plein cœur sans tomber dans le pathos… J’en sors bouleversée. Il a fortement résonné en moi car j’ai revécu ma greffe et ses complications. L’hôpital Saint-Louis et le Pr Bergeron* y sont mentionnés.
2025
Infection respiratoire aiguë (IRA) Covid-19, Grippe et autres
Situation observée du 17 au 23/03/2025
clic sur une carte puis
Le réseau Sentinelles
Je me joins aux “copines” pour vous remercier…
Si j’avais davantage de temps , je lirais TOUS vos articles ! Tous très intéressants. Mais ce n’est que chose remise !
Bonjour Cathy3, merci … et nous sommes tous là pour une bonne cause.
Une piste inattendue dans la recherche sur le cancer
27 mars 2025 - 09:42 par La rédaction Infodujour
Une étude scientifique de Pierrick Martinez & Jean-Marc Sabatier*met en lumière le rôle potentiellement crucial du nerf vague dans la compréhension et le traitement du cancer, maladie complexe.
Un médiateur insoupçonné
Résumé
Les dernières recherches de deux scientifiques, Pierrick Martinez et Jean-Marc Sabatier révèlent que le nerf vague pourrait être un acteur clé dans la communication entre les tumeurs et le système nerveux central. Composé à 80% de fibres complexes, ce nerf agit comme un véritable réseau de transmission capable de détecter des signaux immunitaires, métaboliques et chimiques.
Les deux scientifiques ont observé des résultats étonnants et parfois contradictoires. Dans certains cas, la signalisation du nerf vague semble inhiber la progression tumorale, tandis que dans d’autres, elle pourrait potentiellement favoriser la croissance de certains cancers.
Des interactions complexes
Résumé
L’étude met en évidence des interactions fascinantes entre le nerf vague, le microbiote intestinal et le système rénine-angiotensine (SRA). Ces connexions pourraient jouer un rôle crucial dans la modulation des processus liés au cancer.
Vers de nouvelles perspectives thérapeutiques
Les chercheurs entrevoient des perspectives thérapeutiques prometteuses, notamment :
- Le ciblage des fibres vagales dans des organes spécifiques
- La stimulation de centres nerveux autonomes
- L’exploration de nouvelles stratégies de traitement
Vers de nouvelles perspectives thérapeutiques
Résumé
Alors que la recherche progresse, une meilleure compréhension des mécanismes neuro oncologiques pourrait permettre de développer des stratégies plus ciblées et efficaces contre le cancer. Le nerf vague, autrefois perçu comme un simple relais du système nerveux autonome, pourrait bien se révéler être une clé essentielle dans la lutte contre cette maladie redoutable.
Repenser l’utilisation de la corticothérapie en oncologie
Résumé
Les corticoïdes, largement utilisés en oncologie pour leurs propriétés anti-inflammatoires et immunosuppressives, aident à gérer les symptômes liés au cancer et les effets indésirables. Cependant, leur utilisation à long terme peut affecter négativement la survie des patients et exacerber la progression tumorale. L’élévation du métabolisme du glucose et de la glutamine, la perturbation des taux de vitamine D et les altérations du microbiome sont quelques-uns des principaux facteurs qui contribuent à ces effets indésirables. Des approches telles que les régimes cétogènes, le jeûne, les sartans et la supplémentation en vitamine D se sont révélées prometteuses pour fournir des avantages similaires aux CS tout en atténuant les risques associés aux mécanismes identifiés comme contribuant à la progression tumorale. Cette perspective souligne la nécessité d’une réévaluation de l’utilisation des CS dans les soins du cancer et préconise de poursuivre la recherche sur des stratégies thérapeutiques plus sûres et plus efficaces.
*Pierrick Martinez (Association Cancer et Métabolisme, Nîmes, France) est à l’origine du protocole anti-cancer Fenbendazole/Ivermectine/Vitamine D
*Jean-Marc Sabatier est directeur de recherches au CNRS et docteur en Biologie Cellulaire et Microbiologie, HDR en Biochimie.
En 1885, un enfant atteint de la rage est présenté à Louis Pasteur
En juillet 1885, le jeune alsacien Joseph Meister âgé de neuf ans est mordu 14 fois par un chien enragé. Marie-Angélique, sa mère, a entendu parler d’un savant, Louis Pasteur, qui vaccine des chiens enragés. Elle se rend à Paris et le supplie de sauver son fils.
Cette première vaccination sur l’humain sera un succès retentissant.
En couverture : la Journée d’ELLyE à Caen.
n° 54 novembre 2024
Sommaire
AGIR
Toute l’actualité des actions de
l’association
04 • Journées d’ELLyE : un mois tout
feu tout flamme !
10 • Patrouille de France : la tête dans
les nuages…
13 • Plaidoyer : Favoriser l’accès à des
traitements
INFORMER
Les infos importantes et intéressantes
à connaître
14 • Pénuries de médicaments : quelles
conséquences pour les patients ?
16 • Covid-19, grippe et zona : pensez à
vous faire vacciner !
18 • Comment bénéficier du dispositif
« Mon soutien psy » ?
19 • Droits en santé : la carte mobilité
inclusion stationnement, pourquoi,
comment ?
RECHERCHE
Les informations médicales à savoir
20 • Ce qu’il faut retenir des
10es Journées du FILO
21 • Inhibiteurs de BTK covalents et non
convalents, quelle différence ?
22 • LLC : vers un meilleur accès à
la détection des mutations qui
guident le choix des traitements
24 • Les actus médicales
ACCOMPAGNER
Ils et elles agissent, informent, courent,
témoignent…
26 • Le témoignage d’Alexandre —
« Mon lymphome, c’est du passé.
Mon présent, ce sont mes deux
filles ! »
28 • Les actions et évènements récents
par et pour ELLyE en région
31 • Un bénévole, un engagement —
Marine Bernard
Bonjour,
- Chez Yuka, nous savons combien il est important de manger sainement tout en se faisant plaisir !
- C’est pourquoi vous trouverez sur notre blog plus de 200 recettes gratuites, délicieuses et faciles à préparer **_**
- Du petit-déjeuner au dîner, en passant par des collations saines et gourmandes, il y en a pour tous les goûts. Voici un petit aperçu des 4 recettes les plus plébiscitées :
Bowl de patate douce et brocoli rôtis, sauce au tahin
Salade de tomates et oignon rouge façon Panzanella
Chili sin carne, à base de carottes, haricots rouges et maïs
Pancakes au citron légers et moelleux
L’incroyable pouvoir du microbiote
—24 FÉVRIER 2025—
À l’intérieur de votre intestin se cache un monde insoupçonné, peuplé de micro-organismes. Ce petit univers, invisible à nos yeux, joue pourtant un rôle immense dans notre santé. Dans cet article, on vous explique ce qu’est vraiment le microbiote et pourquoi il mérite toute votre attention.
Les soins de support
Il n’existe pas de prise en charge de patients
atteints d’un cancer sans l’appui des soins de
support à l’Institut Curie.
Les professionnels ne s’arrêtent pas au seul
traitement de la maladie. Très tôt dans le
parcours de soins de la personne soignée,
les besoins en soins de support sont dépistés
pour apporter aide et soutien pendant les
traitements.
Télécharger le livret des soins de support
Les soins de support
COMPRENDRE LES SOINS DE SUPPORT
BROCHURES PATIENTS
Avoir un lymphome, ce n’est pas être réduit, du jour au lendemain, à sa maladie. On reste une personne à part entière qui vit avec son corps, sa tête et son cœur. C’est pourquoi la prise en charge médicale de son cancer ne doit pas se limiter au seul traitement de la maladie. Certes, il est indispensable de recevoir tout ce qui est médicalement nécessaire pour s’attaquer à la maladie et, si possible, la faire disparaître. Mais ça ne suffit pas! La prise en charge doit envisager la personne dans sa globalité. C’est ce que permettent les soins de support.
Date de mise à jour : 13-09-2023
Les traitements de la LLC
Traitement en 1re ligne (1° partie) Voir la vidéo
Traitement en 1re ligne (2° partie) Voir la vidéo
Traitement après une rechute (1° Partie) Voir la vidéo
Traitement après une rechute (2° Partie) Voir la vidéo
2025
Infection respiratoire aiguë (IRA) Covid-19, Grippe et autres
Situation observée du 24 au 30/03/2025
clic sur une carte puis
Le réseau Sentinelles
La minute hémato
Décryptez la Leucémie Lymphoïde Chronique au travers de notre série vidéo la « Minute Hémato ».
LA LEUCÉMIE LYMPHOÏDE CHRONIQUE
COMMENT DIAGNOSTIQUER LA LEUCÉMIE LYMPHOÏDE CHRONIQUE ?
Dans cet épisode de la Minute Hémato, Dr Lepretre, hématologue au Centre Becquerel à Rouen nous explique la Leucémie Lymphoïde Chronique
Qu’est-ce qu’une LLC ?
Dans cet épisode, le Dr Stéphane Lepretre revient sur le diagnostic de la Leucémie Lymphoïde Chronique. Quels symptômes ? Quels examens ?
Le diagnostic
Porter la voix des malades et sensibiliser le grand public
La minute HEMATO
"La rémission complète (RC) signifie que pendant les deux mois qui suivent le traitement, vous n’avez pas de symptômes de la LLC, que vos taux de cellules sanguines sont normaux et que votre rate et vos ganglions lymphatiques ne sont pas enflés.
Après cette période de deux mois, les lymphocytes devraient constituer moins de 30 % de toutes les cellules sanguines."
(Société canadienne du cancer)
Suivi de ma LLC